Jean-Vladimir

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Avec L’Escalier sous la mer, Jean-Vladimir Deniau signe son premier roman. Il n’en est néanmoins pas à son premier essai. En 2009, il écrit une pièce de théâtre à quatre mains, Mille ans sont comme un jour. Ses premiers essais littéraires datent de ses douze ans, époque à laquelle il rédige des scénarios de jeux de rôle et commence également un roman.

Après des classes prépas commerciales au lycée Sainte Geneviève, dont il retient surtout les cours de culture générale, de langue et d’histoire, Jean-Vladimir entreprend un double cursus de philosophie dont l’essentiel se déroule à La Sorbonne. Il sera ensuite novice dans une communauté religieuse, ce qui l’amène à étudier la théologie à Rome.

Fils de diplomate, Jean-Vladimir va passer la plus grande partie de son enfance et de son adolescence à l’étranger: Rome, Bruxelles, Tunis, Saint Domingue. Autant de destinations dont il s’imprègne et qui rejailliront au moment d’écrire.

Sa famille, issue d’une dizaine de pays différents, contribue à enrichir son monde intérieur et à ouvrir son horizon. Il est chez lui aussi bien à Paris qu’à Vienne, Rome ou Athènes. Philadelphie, Zagreb et Bucarest font partie de son héritage.

Jean-Vladimir a un faible pour la Méditerrannée : ses paysages, sa beauté, son histoire, son patrimoine architectural et culturel, son savoir-vivre. C’est pour la sillonner qu’il se met à la voile. Avec Floria, un vieux voilier qu’il a rénové et dont la coque à fleurs se repère de loin, il aime à sillonner les eaux grecques au gré des caprices du vent.