Son histoire

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Le roman est le fruit d’un voyage en solitaire réalisé en 2017 le long des rives Septentrionales de la Méditerranée.

C’est dans une pépinière où il travaille un temps, La Soldanelle à Rougiers, entre la Sainte Baume et le Garlaban, que l’inspiration vient à Jean-Vladimir. Adossé à un chêne, un vieil escalier en bois attend une nouvelle affectation. C’est l’étincelle. La merveilleuse bibliothèque de Sylvie et Christian, les exploitants, accompagne cet élan. Les discussions au coin du feu avec eux feront le reste.

Un premier texte sort au bout de quelques semaines. Il se balance aujourd’hui mollement au vent de Provence, punaisé à l’escalier, offert à la lecture des clients de la pépinière. Sylvie et Christian seront ses premiers lecteurs. Ils l’encouragent à continuer.

D’étape en étape, de Marseille au Cap Sounion, en passant par Rome, Tarente et Lépante, les écrits s’accumulent. D’abord des tableaux pris sur le vif comme ceux d’un peintre impressionniste. D’émotion esthétique en méditation maritime, le fil narratif se noue petit à petit. Deux ans plus tard, c’est un roman. 

Roman psychologique et poétique, aux croisement de l’enquête policière, du roman de voyage maritime et de l’histoire d’amour, L’Escalier sous la mer joue avec les genres et offre au lecteur un voyage trépidant le long des rives de la Méditerrannée et dans les tréfonds de son être.